La globalisation et la technologie ont peut-être dissout l’idée de frontières, généré une illusion d’accessibilité à tout à tout instant, mais ainsi nous avons perdu le sens d’appartenance à la communauté dans laquelle nous vivons.

Je propose de projeter et réaliser des oeuvres avec des groupes d’enfants et adolescents de la même école, du même bourg, village ou ville, de manière à ce que se crée une passerelle d’identification entre eux. Le « pouvoir dire » d’avoir contribuer à la réalisation d’une oeuvre qui reste dans le temps génère de l’histoire, et ce seront les mêmes enfants devenus adultes qui emmèneront leurs frères, amis, ou plus tad aussi leurs enfants à voir l’eouvre.

Mettre de la paix, ouverture et dialogue comme le suggère cette photo en créant une oeuvre avec des symboles forts, poésie, etc… Le monde que nous avons créé génère de la part de nos enfants une forme d’autodestruction parce-que ne prévaut que l’apparence, la consommation et l’argent.

Il nous appartient de donner une place à ces expériences et à leurs œuvres dans nos espaces de vie. Ils ne nous sont pas redevables, nous avons choisi de les accueillir en procréant. Les écouter, guider et structurer leurs idées avec la sagesse de notre expérience et la sacralité de la Vie, donner de l’espace à leur travail dans l’espace commun, génère une communauté autour du coeur.